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sur la visite de l'usine Hager à Obernai

A partir de
BAC+3
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www.commissairesdanslesarmees.defense.gouv.fr
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COMMISSAIRE
DES ARMÉES
Réserviste
Commissaire des armées

LE MÉTIER
Etre commissaire de réserve, c’est consacrer 10 à 30 jours par an au service des forces armées, en participant à des missions
militaires au sein d’une unité, d’un état-major ou d’un service, ou en mettant à la disposition de la Défense des compétences en
finances, droit, logistique, achats, etc. sur le territoire national et/ou à l’étranger, tout en contribuant au rayonnement des forces
armées et à la promotion de la culture de défense.

DURÉE DU CONTRAT
Contrat de 1 à 5 ans renouvelable.

LES CONDITIONS REQUISES
• Etre de nationalité française
• Etre âgé de 66 ans au plus
• Etre titulaire au minimum d’un bac+3
• Etre apte médicalement

LE TYPE D’AFFECTATION
Les commissaires sont des officiers chargés de l’administration générale et du soutien commun. Ils exercent leurs fonctions dans un
état-major ou sur un poste de terrain au sein de l’Armée de terre, de la Marine nationale, de l’Armée de l’air, du Service de santé des
armées ou de la Direction générale de l’armement.

LA RÉMUNÉRATION
En fonction du grade, de l’ancienneté, de la situation de famille etc. Par exemple, pour un commissaire affecté à Paris, échelon 1,
sans enfant :
Commissaire de 3ème classe (équivalent sous-lieutenant) : 59€ net par jour.
Commissaire de 1ère classe (équivalent capitaine) : 98€ net par jour.
Prise en charge des frais de déplacement entre le domicile et le lieu d’affectation.

LA FORMATION
Durée : 5 jours
Lieu : École des commissaires des armées basée à Salon-de-Provence

LES PERSPECTIVES D’ÉVOLUTION
En débutant comme commissaire de réserve, vous pourrez progresser en grade au cours de votre carrière et occuper des postes très
variés avec des responsabilités croissantes.

PROFILS RECHERCHÉS
Les dominantes d’emploi des commissaires sont les achats, les finances, la logistique, l’administration du personnel et le domaine
juridique.

COMMENT POSTULER ?
> Envoyez un CV et une lettre de motivation à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
> Publication des offres sur le site interarmées des réserves militaires www.reserve-operationnelle.ema.defense.gouv.fr
> Sélection sur dossier et entretiens

Valoriser l'œuvre d'art aujourd'hui: Enjeux et perspectives

 Article rédigé par Amandine BAUMGARTNER (Ecofi 2013)

Vaste programme pour ce premier stammtisch de l’année. Deux visions de l’art et de ses challenges ont été évoqués grâce aux interventions d’Alain Lombard, Administrateur Général du musée d’Orsay et du musée de l’Orangerie et de Thomas Perron, Co-Fondateur de IDÛ Interactive Inc.

Alain Lombard nous a d’abord présenté les impératifs auxquels doivent faire face aujourd’hui les musées. Il est évidemment important d’attirer de nouveaux visiteurs. Au musée d’Orsay, 70% des visiteurs sont étrangers. Rien de trop surprenant à cela, c’est le cas de beaucoup des grands musées de la capitale. Renouveler sans cesse l’offre culturelle est au cœur des préoccupations. Et la programmation de nouvelles expositions temporaires audacieuses est l’élément pivot de cette stratégie. Cela semble fonctionner, puisque la dernière exposition Splendeurs et misères. Images de la prostitution 1850-1910 a attiré 420 000 visiteurs en quelques mois à peine.

Dans un climat où les subventions s’amenuisent peu à peu, le musée d’Orsay, comme beaucoup d’autres institutions culturelles publiques, se doit de maintenir un certain équilibre financier. Les recettes des entrées permettent de remplir un peu les caisses (et cela même si la volonté affichée est de proposer un ticket d’entrée à un tarif raisonnable par rapport à d’autres musées de même calibre à l’échelle mondiale), mais générer d’autres ressources est toujours nécessaire. Location de l’espace pour des soirées d’entreprises, prêt d’œuvres à d’autres musées à l’étranger (l’Angélus de Millet est d’ailleurs particulièrement plébiscité par les musées japonais), le musée d’Orsay ne manque pas d’imagination pour diversifier ses sources de revenus. Une partie de ces ressources, 3 millions, est allouée à l’acquisition de nouvelles œuvres. C’est un budget très limité auquel s’ajoutent heureusement les dations et les donations qui permettent encore d’étoffer la collection du musée déjà bien fournie (6000 peintures et des milliers de sculptures font partie de la collection du musée, dont 2000 d’entre elles sont exposées). D’ailleurs le musée peut se vanter d’avoir récemment accueilli par donation une impressionnante collection d’œuvres de Bonnard et de Vuillard pour un total de 30 millions.

À ces deux objectifs s’est récemment ajouté un dernier impératif, celui de la sécurité des visiteurs. L’équilibre entre accueillir les longues files de visiteurs dans le musée le plus rapidement possible, et contrôler les visiteurs fait désormais partie des préoccupations de l’administration du musée.

L’approche de Thomas Perron est quant à elle bien différente. Il s’agit également de soutenir l’art et la culture, mais grâce à la technologie.

Thomas est le Co-Fondateur de IDÛ Interactive Inc., une société qui développe des applications pour les musées. À la fois guide de visite et outil de consultation à distance des collections, ce nouveau système ringardise sérieusement le traditionnel audio guide. En partenariat avec les musées désireux de dynamiser leurs visites, Thomas crée une application qui permet au visiteur de découvrir le musée selon son envie, en approfondissant ou en sautant certaines œuvres. Les commentaires sont interactifs, ponctués de jeux et questionnaires, rendant la visite plus ludique. Sans que cela ne le soit au détriment de l’apport intellectuel évidemment. Les œuvres sont accompagnées de schémas visuels, et de design explicatifs. Quelques musées et villes souhaitant promouvoir leur patrimoine se sont déjà laissés tenter par l’aventure (le musée Hébert à La Tronche, le musée du Malgré-Tout à Treignes en Belgique, les villes de Belœil et Tréguier). Autre atout non négligeable d’un tel système de visite : l’exploitation à posteriori des datas générées par les utilisateurs. Il sera désormais possible de déterminer, chiffres à l’appui, quelles œuvres ont suscité l’intérêt des visiteurs ou celles qui ont à l’inverse été évincées du parcours de visite (cela est peut-être dû à un défaut d’éclairage, qu’il sera alors possible d’ajuster). Enfin, spécificité de cette nouvelle « app », elle peut être disponible dans de nombreuses langues et son contenu peut être adapté en fonction de la culture et de la langue considérée.

Ces deux visions complémentaires ont permis aux néophytes comme aux passionnés d’en savoir plus sur le point de vue et la vision stratégique de deux professionnels du domaine. Un grand merci à tous les deux pour leur temps et la clarté de leur intervention, ainsi qu’à Bastien Féron pour l’organisation de cette première table ronde de l’année 2016.

http://blog.apahau.org/wp-content/uploads/2014/12/orsay.jpg

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LES RENCONTRES-DEBATS

L’Association Nationale des Anciens Elèves de l’IEP de Strasbourg a le plaisir de vous faire part de l’organisation du Prix Européen de l’Eloquence par L’Ecole des Jeunes Orateurs, association d’éloquence de Sciences Po Strasbourg, le

11 février 2016 à 18h

Au Conseil de l’Europe

Strasbourg.

Jury présidé par Madame La ministre

Catherine TRAUTMANN

A cette occasion, des orateurs des quatres coins de l'Europe mais également de l'IEP font le déplacement pour débattre, en français, sur l'Europe.

Le gagnant repartira avec un stage personnalisé de 8 semaines au Conseil de l'Europe.

Au programme de la soirée: joutes oratoires, jury prestigieux composé d'une ancienne ministre, d'ambassadeurs, de professionnels de l'éloquence... le tout dans un cadre exceptionnel!

Cocktail,

Jazz,

Photocall,

Goodies...

TOUT Y EST !

Tenue correcte exigée et documents d'identité obligatoires pour l'accès au Conseil de l'Europe

Les places sont en vente au BDE de l’IEP (47 avenue de la Forêt Noire à Strasbourg) et sur le site internet : http://ecoledesjeunesorateurs.com/prix-europeen-de-leloquence/

« L’impact des réseaux sociaux sur la communication institutionnelle aujourd’hui »

Par Brigitte Overeem

Paris, le jeudi 26 novembre 2015

http://reckon-partners.com/fr

Retour sur les quelques éléments marquants de la conférence.

Le Web a été inventé par Tim Berners-Lee et Robert Cailliau de l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN) plusieurs années après Internet, mais c’est lui qui a rendu les médias grand public attentifs à Internet.

Le premier e-mail date de 1971

Google a été fondée le 4 septembre 1998 dans un garage  dans la Silicon Valley, en Californie, par Larry Page et Sergueï Brin

Premier fait marquant sur twitter:

2009: Un avion commercial amerrit sur l’Hudson River, l’information est relayé par un citoyen sur Twitter et non un journaliste. Celle-ci sera partagée dans le monde entier ! Une nouvelle façon de s’informer entre en scène.

Et aujourd'hui:

• Facebook : 4,166 millions de publications aimées par minute
• YouTube : 300 heures de vidéos téléchargées chaque minute
• Netflix : 77 160 heures de vidéos visionnées toutes les 60 secondes
• Pinterest : 9 722 images épinglées par minute
• Vine : plus d’un million de vidéos de 6 secondes vues par minute
• Snapchat : plus de 284 000 snaps envoyés toutes les 60 secondes
• BuzzFeed : 34 150 vues sur les vidéos publiées par BuzzFeed chaque minute
• Skype : plus de 111 000 appels passés via Skype par minute

Quelles sont les utilisations
actuelles en France ?

Quels sont les sites les plus visités en France ?

Le trafic sur twitter révèle la réelle importance pour les marques de ce média:

Dans ce contexte, le consommateur change de statut: l'utilisateur gère le contenu (le modifie, l'organise et le sélectionne)

Le consommateur devient un consomm'acteur

Des médias cependant à manier avec précaution!

Par exemple, KLM a fait les frais d'un humour mal placé du community manager après une défaite au football...

De même, Findus a subi de grosses conséquences en termes d'image après l'affaire de la viande de cheval.

La réputation peut s'effondrer rapidement avec les réseaux sociaux....

1. Findus, totalement décrédibilisée à cause de la viande de cheval

2. Barilla, synonyme d'homophobie

3. Abercrombie, chute de la marque

La conférence s'est achevée sur ces avertissements, et a laissé place au débat.

Créateurs de startups, community managers, cadres dans l'industrie ont pu apporter leur contribution à cette table ronde, enrichissant le débat et créant une véritable interaction au sein de notre réseau!

Venez nombreux aux prochaines conférences!

Bastien FERON, AP 2007, organisateur

Brigitte OVEREEM, http://reckon-partners.com/fr/